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Les promoteurs du nord-ouest voient la vie en rose

Publié le 23 Septembre 2015 par Ouest Immobilier Neuf

Le marché de l'immobilier neuf est reparti depuis le début de l'année, d'ailleurs l'ouest de la France n'a pas été avare de bons résultats. Et la tendance pourrait bien continuer, c'est en tout cas ce que pensent les professionnels interrogés par l'institut de sondage CSA pour le compte du Crédit Foncier. Pour eux les prix vont se stabiliser, ce qui va permettre de vendre plus.

Les professionnels immobiliers de l'Ouest sont très optimistes

L'année 2015 avait plutôt mal commencé pour le marché de l'immobilier. La première vague du baromètre du moral des professionnels, dressé par l'institut CSA pour le compte du Crédit Foncier, montrait que seuls 35 % étaient optimistes. Puis les taux d'emprunt ont chuté, le public a commencé à connaître le dispositif Pinel et le PTZ+, et le marché s'est inversé.

Le second baromètre paru en mai 2015 montrait que le 1er trimestre s'était plutôt bien déroulé, avec désormais 62 % d'optimistes. 3 mois plus tard 65 % des agents immobiliers, promoteurs et autres intermédiaires du Nord-Ouest, sont confiants quant à la bonne santé de leur secteur économique. Ils pensent que les taux d'intérêt ne vont pas trop grimper, et près de la moitié d'entre eux croit en les dispositifs de soutien à l'achat immobilier.

Les promoteurs du Nord-Ouest voient les prix du neuf stagner

Alors que les prix de l'immobilier neuf ont augmenté depuis 1 an, 68 % des professionnels interrogés pensent que la tendance va se calmer au cours des 12 prochains mois. Ils ne sont que 9 % à anticiper la continuité de la hausse, tandis que 16 % ne seraient même pas surpris que les prix diminuent.

Toujours est-il qu'ils sont 49 % à s'attendre à une stagnation du nombre de transactions. Pour rappel le ministère du logement note que les ventes de logements neufs ont augmenté de +21,8 % au 2e trimestre 2015, par rapport au 2e trimestre 2014. Cela n'empêche pas 27 % d'entre eux de s'attendre à ce que les ventes continuent d'augmenter, et ce malgré que l'offre ait diminué de -2,8 % dans un même temps.